Istanbul respirait délicatement par-dessous la température du Bosphore, ses paysages chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un atelier anonyme entre les colonnes d’un traditionnel caravansérail, une femme aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à l’aide de fragments de verre, d’os polis, et d’ivoire récupéré
Istanbul respirait délicatement marqué par la chaleur du Bosphore, ses collines chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un usine étranger entre les colonnes d’un ancestral caravansérail, une féminitude aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à bien l’aide de fragments de verre, d’os polis, et d’ivoire récupé
L’élan mystique d’un moderne subterfuge La la première éclairage de l’aube réveille un léger frisson chez Mélissa, alors qu’elle observe son atelier plongé dans une pénombre alternative. Les images de la veille dansent encore une fois son être, mentionnant l’effervescence qui habite son de chaque jour sur quatre ou cinq semaines.